Les ados et les jeux vidéo : un duo inséparable ?

nos enfants et les jeux video

Ah, les ados et leurs jeux vidéo… Moi aussi, je suis passée par là. Ces moments où tu te sens complètement impuissante. Tu les vois rivés à leur écran, leurs yeux fixés sur ces mondes virtuels, et toi, tu te demandes : « Comment on en est arrivés là ? » Tu essaies de parler, de leur proposer autre chose, mais souvent, c’est comme si tu parlais à un mur.

Pourquoi les jeux vidéo les absorbent autant ?

Je vois bien pourquoi ils aiment ça. C’est leur refuge. Une façon de s’évader, de relâcher la pression après une journée parfois lourde à l’école. Dans ces mondes virtuels, ils sont les héros, ils contrôlent tout, et chaque victoire leur donne une bouffée d’adrénaline.

Mais à vrai dire, ça me dépasse. Ces jeux sont tellement bien pensés pour les retenir. Les images, les histoires, les récompenses… tout est fait pour qu’ils restent accrochés. Et moi, je me retrouve à jongler entre vouloir les comprendre et juste vouloir arracher la console pour qu’ils reviennent dans le monde réel.

Quand ça devient trop

Et puis il y a ces moments où ça prend vraiment trop de place. Les devoirs fait vite fait, le sport laissé de côté de temps en temps, et nous, les parents, qui avons l’impression de passer en dernier. Franchement, c’est dur de ne pas se sentir frustrée ou inquiète. Est-ce qu’ils vont finir par se décrocher ? Comment leur faire comprendre qu’il y a tellement plus à vivre au-delà des écrans ?

Trouver des solutions ensemble

J’ai testé pas mal de choses. Parfois, ça marche, parfois non. Mais ce que j’ai appris, c’est que rien ne sert de tout couper d’un coup. Ça finit toujours par des conflits qui n’aident personne. Alors, on essaye de trouver des compromis, de poser des limites, doucement, mais fermement.

  1. Parler sans juger : C’est pas toujours facile, mais je m’efforce de leur demander pourquoi ils aiment tant jouer. Parfois, juste les écouter ouvre une porte.
  2. Instaurer des rituels hors écrans : Des repas sans téléphones, une balade en famille, ou même juste un petit jeu de société. Ces moments nous rappellent qu’on peut aussi s’amuser ensemble.
  3. Donner l’exemple : Et là, j’avoue, c’est pas toujours gagné. Mais si je passe mon temps sur mon téléphone, je peux difficilement leur demander de lâcher leur écran.
  4. Accepter que c’est leur passion : Et essayer de la comprendre, même si elle ne me parle pas toujours. Parce que c’est leur monde à eux, et ils ont besoin qu’on les soutienne, même de loin.

Et puis, parfois, j’essaie de me dire que ce n’est qu’une phase. Que, comme tout, ça passera. En attendant, on fait de notre mieux, avec nos doutes et nos erreurs, mais surtout avec tout l’amour qu’on a pour eux.

Et toi, comment tu gères ces moments d’impuissance ? Peut-être qu’on pourrait se soutenir, entre parents qui se posent les mêmes questions. Parce qu’au fond, on est tous dans le même bateau, non ?

Mots d’maman

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